Télécharger Etre sans destin, by Imre Kertész
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Etre sans destin, by Imre Kertész
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Détails sur le produit
Poche: 368 pages
Editeur : 10/18 (14 novembre 2002)
Collection : Domaine étranger
Langue : Français
ISBN-10: 2264033819
ISBN-13: 978-2264033819
Dimensions du produit:
17,8 x 10,9 x 2,4 cm
Moyenne des commentaires client :
4.3 étoiles sur 5
11 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
98.259 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Pour le lecteur qui s'intéresse aux témoignages sur la Shoah, le livre d'Imre Kertész pourra sembler moins percutant, moins émouvant que ceux de Primo Lévi ou Robert Antelme (pour ne citer qu'eux). Mais la force du livre et son originalité résident dans le fait que Kertész réussit à nous plonger dans la peau de l'adolescent de 15 ans qu'il était au moment de sa déportation (alors que le livre a été écrit 20 ans plus tard). D'où le regard décalé qui est le sien, pour lequel de manière presque paradoxale, tout apparaît si "naturel". Qui aurait cru par exemple que Buchenwald puisse faire naître le "mal du pays" ?Un livre fort qui se lit comme un roman.
L'auteur reussit par sun procédé littéraire simple et agréable à évoquer des situations extrêmes et à les replacer devant son narateur : le propre des souvenirs est qu'ils sont derrière, déjà modifiés, interprêtés, reconnus. Ici, le narateur découvre les faits en même temps que le lecteur.je croyais "connaitre" le sujet du livre.C'est curieusement en dépit du sujet très agréable à lire, le narateur est attachant, disponible, très accessible. C'est même parfois très drôle, du drame on bascule avec facilité dans l'absurde.Ce bouquin m'a amené à réfléchir à ma propre responsabilité dans l'Histoire. ce n'est pas du tout du tout culpabilisant, c'est ouvert : l'auteur nous interroge peut être sur des recoins de notre nature humaine auquel on n'accède rarement.
Imre Kertész nous livre, avec Etre sans destin, un portrait sans concessions de ce qu'il a vécu dans sa chair au milieu des espaces troubles des camps de concentration.Bien plus que par le minutieux "procès-verbal" de cette confrontation face à un univers concentrationnaire inexplicable, c'est dans la façon dont tout cela fut vécu et enregistré par sa mémoire, que Imre Kertész remue nos consciences de lecteurs, ébranle les fragiles notions que nous nous faisons du bien et du mal.C'est parce qu'il n'émet pas de jugements tranchés sur ce qui lui arrive dans les camps, que le jeune narrateur peut conserver un regard enfantin et étonné sur les douloureux événements qu'il est amené à vivre.Il est dans la pure présence, non dans la quête d'un sens : lequel serait, de toute évidence, impossible à formuler.Le récit qu'il fait de sa vie dans les divers camps où il fut déporté, semble relever d'une vie parallèle, double ; comme s'il était en quelque sorte un spectateur de ce théâtre d'ombres faméliques et souffrantes.Ce regard de l'enfance — miraculeusement conservé au sein même de l'adolescence et de la déportation —, lui permet de traverser ces terres de la désolation en acceptant, comme sous l'ordre d'un décret mystérieux, la rude et absurde tâche dans laquelle il se trouve embourbé.Le sens profond d'Etre sans destin, me semble culminer dans le regard que pose, après coup, ce jeune adolescent qui revient des camps de concentration comme on émerge des fumées noires d'une sorte de cauchemar éveillé.Lorsqu'il regagne ce qui fut autrefois son foyer — entretemps passé en d'autres mains —, il retrouve deux vieillards juifs de son enfance, qui ont pu survivre en se cachant : Steiner et Fleischmann.A leurs questions insistantes sur ce qu'il fera désormais de son avenir après l'horreur qu'il vient de traverser, le narrateur adolescent leur assène ces mots :"S'il y a un destin, la liberté n'est pas possible ; si, au contraire, […] la liberté existe, alors il n'y a pas de destin, […] c'est-à -dire qu'alors nous sommes nous-mêmes le destin." (p. 356)Questionnement métaphysique vertigineux, auquel il s'empresse d'ajouter — comme par douceur —, des mots si simples en apparence et qui semblent porter en eux la légèreté et le poids de toute existence humaine : nous avons avancés pas à pas comme nous le pouvions.Notre difficile arrangement avec la vie consiste peut-être dans ces pas, que chacun accomplit à son rythme avec plus ou moins de peine, en grappillant quelques miettes de bonheur avant que le vent les emporte — les déporte au loin.Rien ne sert de se presser car nous arriverons tous où nos pas nous mènent fatalement : là où il nous faudra partir dans ce qui est peut-être un point final.Mais Fleischmann et Steiner ne semblent pas pouvoir envisager, sans un indicible effroi, l'espèce de "détachement" dont fait preuve le narrateur.Son être se fait farouche lorsque ceux-ci cherchent à lui assigner une identité de pure victime.Retentissent alors de sa bouche ces paroles foudroyantes : "On ne peut pas — il fallait qu'ils essaient de comprendre cela —, on ne peut pas tout me prendre, il m'est impossible de n'être ni vainqueur ni vaincu, de ne pas pouvoir avoir raison et de n'avoir pas pu me tromper, de n'être ni la cause ni la conséquence de rien ; je les suppliais presque d'essayer d'admettre que je ne pouvais pas avaler cette fichue amertume de devoir n'être rien qu'innocent." (p. 357)Il ressort d'Etre sans destin, étrangement, des exhalaisons de mort et un ardent souffle de vie — sans que ces deux impressions ne puissent s'annuler l'une l'autre.Imre Kertész s'est délesté — autant qu'il a pu —, de sa pesante croix en ne faisant pas mûrir dans son âme les fruits aigres de la haine et de la vengeance.Parce que la condamnation face à l'incompréhensible violence est si dure à prononcer ; parce qu'il n'y a, au fond, ni anges ni diables ; pas d'êtres purs ou impurs, mais un trouble mélange de tout cela — et parce qu'en tout agneau demeure possible la férocité du loup.Âpre constat de "la banalité du mal" ; terrible "innocence" de la cruauté !Il y a simplement des hommes : les uns recevant les coups, d'autres les donnant ; des hommes dont le triste lot commun est de ne jamais vraiment "savoir ce qu'ils font".
À Budapest, pendant la guerre, un adolescent juif mais sans sentiment religieux particulier, et qui envisage avec un certain détachement ses rapports avec ses parents divorcés et avec sa belle-mère, se voit obligé de quitter le lycée et de travailler dans une raffinerie de pétrole pour subvenir aux besoins des siens lorsque son père part dans un camp de travail.Un jour, sur le chemin du travail, la police hongroise l’oblige à descendre du bus, et avec ses collègues, il est emmené à Auschwitz d’abord, ensuite à Buchenwald, et puis à Zeitz.Les phrases sont courtes, le style précis. Le récit se limite à des faits concrets, et si jamais une réaction psychologique est évoquée, elle est accompagnée d’une formule telle que «me semble-t-il», comme si sa véracité ne pouvait être garantie.Petit à petit, le narrateur s’habitue à l’univers qui est le sien, semble oublier sa vie antérieure, et entre dans la logique des camps. Il se retrouve enfin à l’hôpital de Buchenwald dans un univers presque douillet.Après sa libération, il ne parvient pas à partager son expérience, même avec des personnes bien disposées à son égard. Les notions d’«enfer» et de «destin» pour lui ne correspondent à rien. «Oui, c’est de cela, du bonheur des camps de concentration, que je devrais parler la prochaine fois, quand on me posera des questions,» conclut-il.«L’Être sans destin» de Kertész est-il ainsi nommé en souvenir de «L’Homme sans qualités» de Musil? En tout cas, il est difficile de ne pas songer à Kafka en lisant ces pages.La traduction, autant qu’on puisse en juger sans comparer les deux textes, semble être sans faille.
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